“ disparaître dans l’odieuse flamboyance des Tropiques, fleurs, ilètes, floraison. ”
Le regard du spectateur s’égare un instant dans ce dédale, s’inquiète, contourne les motifs, se retrouve, comme s’il errait librement dans un jardin sauvage et raffiné dégageant l’enivrant parfum des contrées dangereuses. Et c’est un plaisir rare, aujourd’hui, que de pouvoir se perdre, et retrouver sa route, dans l’espace d’un tableau.
Olivier Cena, extrait article, TELERAMA nov.2004