Jour de rien, pêcheur d’homme, filet où l’on ramène le bon grain d’une paresse mélangée à former un être dans la cadence des roses qui font l’épine au fond de chaque sourire et au fond de chaque rire, drapées sous le visu des regards de parage, où manque toujours un ciel de douleurs appauvries ; et l’on cherche dans la faille le regard qui nous manque ; c’est le regard de l’œil qui est dans le tableau ; l’instant sec où le corps devient un instrument où le corps tourne au tour de toutes les damnations…
Jymmi Anjoure Apourou